Le collège Capeyron participe, cette année encore, à l’opération Collège au cinéma.
Un dispositif national
Collège au cinéma est un dispositif national impulsé par le Centre National de la Cinématographie. Il repose sur l’engagement de quatre partenaires : le Ministère de la Culture et de la Communication (CNC, DRAC), le Ministère de l’Education Nationale (Rectorat, Inspection académique, les collèges et leurs équipes pédagogiques), le Conseil Général de la Gironde et les professionnels du cinéma (exploitants, distributeurs).
Permettre à tous les élèves d’acquérir culture cinématographique
Collège au cinéma propose aux élèves, de la classe de sixième à celle de troisième, de découvrir des œuvres cinématographiques lors de projections organisées spécialement à leur intention dans les salles de cinéma et de se constituer ainsi, grâce au travail pédagogique d’accompagnement conduit par les enseignants et les partenaires culturels, les bases d’une culture cinématographique.
En donnant accès à une pratique culturelle de qualité, il s’agit de favoriser le développement de liens réguliers entre les jeunes et les salles de cinéma de proximité et de faciliter l’accès, sur l’ensemble du département, du plus grand nombre d’élèves à des œuvres du patrimoine cinématographique français et étranger.
Collège au cinéma a aussi une fonction de soutien économique au secteur du cinéma, notamment aux salles de proximité.
Source : jeunesse.gironde.fr
Artec – Art & Technique du Cinéma
En Gironde, Collège au cinéma est coordonné par ARTEC.
Programmation 2014-2015
Cette année, le collège Capeyron ne participe que sur le niveau 3e (4 classes).
Niveaux 6e/5e :
1. Mon Oncle, de Jacques Tati, 1998, 1h50.
2. Les Enfants loup, de Manoru Hosoda, 2012, 1h57.
3. Kes, de Ken Loach, 1969, 1h50.
Niveaux 4e/3e :
1. La Grande illusion, de Jean Renoir, 1937, 1h54.
2. Imaginaire en courts (courts-métrages): Carlitopolis, de Luis Nieto, Emilie Muller, de Yvon Marciano, La Leçon de natation, de Danny De Vent, La Lettre, de Michel Gondry, En chemin, de Mikhail Kobakhidze, Stretching, de François Vogel.
3. Summertime, de Matthew Gordon, 2012, 1h13.